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élevé à mon école que l’élève pourra apprendre à se servir avec justesse du caveçon, comme je le comprends. — Je fais répéter le même travail en cercle (le professeur tiendra la longe à 2 ou 3 mètres de distance), au pas, au trot, au galop, en recommandant à l’élève de ne chercher qu’une seule chose, la légèreté. — Or, nos lecteurs doivent savoir aujourd’hui que la légèreté suppose l’équilibre du poids préparé par l’harmonie des forces. — Et pour tout résumer en quelques mots, disons : « harmonie des forces produite, à l’aide du caveçon, par la détente des muscles de l’encolure, équilibre du poids, concentration de la force harmonisée. » Là est toute l’équitation, et tout ce que l’on pourrait dire en plus ressemblerait à ces bois flottants dont parlait le fabuliste.