Kerbrec la permission de reproduire son travail, qui peut servir de complément et de développement à mes innovations.
Le voici :
« Il ne faut pas confondre dans l’œuvre équestre de M. Baucher les principes, qui sont à jamais invariables, avec les moyens, qui sont perfectibles et par conséquent pouvaient varier.
« Au nombre des principes qui forment la base immuable de la « méthode », on doit citer en première ligne l’obligation constante de rechercher ou de conserver chez le cheval monté l’équilibre, c’est-à-dire cet état physique provenant du dressage et dans lequel l’animal peut obéir instantanément à la volonté du cavalier, quelle qu’elle soit.
« L’équilibre que M. Baucher a appelé du premier genre existe quand les translations du poids sont également faciles dans tous les sens. On peut comparer cet état de l’animal à l’équilibre indifférent dans les corps inanimés, De même qu’une sphère posée sur un plan horizontal obéit à la plus petite impulsion, de même, dans le cheval monté qui possède l’équilibre du premier genre, le poids cède à la plus légère pression, de quelque côté qu’elle lui soit communiquée, et l’obéissance absolue aux aides en est la conséquence.
« Quant aux moyens enseignés par le maître, ils peuvent être divisés en deux groupes constituant