Voilà, Monsieur.
Discours de Monsieur Rantz à la Chambre…
Vieux rosse ! Vieux rosse !
Le titre, voyons : L’apaisement. Les postiers ont capitulé. Discours de Monsieur Rantz, là, dans le bas de la page : Messieurs, je suis heureux d’apporter à la Chambre la certitude de l’apaisement. À la demande d’arbitrage que les délégués des postiers avaient proposée au gouvernement, celui-ci a cru devoir répondre en faisant valoir les garanties que leur donnerait la création d’un sous-secrétariat d’Etat. Le programme de réorganisation, que j’ai moi-même eu l’honneur d’exposer…
Et voilà pourquoi je suis orléaniste !
… Les agents des postes, grâce à la sagacité et à la modération dont nous avons fait preuve… (Une voix, à l’extrême droite.)
Vieux rosse !
Allez ! Allez ! Rasante la déclaration ! Nous n’en finissons plus. Lisons ensemble.