Comme tout cela est malheureux !… Calmez-vous, chère Madame…
Liane… vous êtes vraiment peu habile.
Et dire qu’au fond ils s’adorent !…
Allez-vous-en tous, tous ! Quittez-moi, je ne suis pas en état d’aller au théâtre ! Je veux, rester seule ici, je n’irai pas aux Folies-Bergère. (Elle parle bas à Myrtille.) Fais-les tous partir… qu’ils s’en aillent ! Dis-leur que je les rejoindrai tout à l’heure, quand je serai calmée.
Elle va vous rejoindre. Devancez-nous au théâtre… Je vais rester cinq minutes avec elle… Je l’amènerai… Mais partez, sans commentaires… L’avant-scène sept…
Ah ! les ménages irréguliers, voilà où ça mène ! C’est affreux, mais, au fond, c’est très moral.
Pars, chevreau… (À Monsieur Dédé qui veut prendre congé de Liane.) Je vous en supplie, laissez-la ! Je crois que ce serait une torture pour elle de vous donner des explications.
Mon écharpe, Lorédan !… Ils sont gais, nos amis !