Nous l’avons énervée, cette pauvre petite… Quel dommage qu’elle ait perdu sa voix !
Bah ! il lui reste tant de choses !… C’est vrai, tous les dons, elle les a !… Mais vous, comtesse, n’avez-vous pas une voix charmante… on me l’a assuré ?
Je sais quelques petits airs nationaux. Il y en a de très beaux.
La comtesse veut bien nous chanter en bas, dans le salon de Madame de Marliew, quelques airs nationaux.
Je n’ai pas dit ça !… Je n’ai pas dit ça !
Si, si, venez… Je vous accompagnerai moi-même au piano.
Bon, nous descendons, et je serai enchanté de prendre quelque chose.
Restez, il faut que je vous parle. (Haut et riant aux autres.) Je vais aller moi-même lui chercher sa tasse de chocolat !
Oh ! que c’est curieux encore cela ! Vos che-