Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
FÉRIOUL, (il fait un reçu.)
Trois cents seulement ?
PARIZOT.
Mon Dieu, monsieur Férioul, si vous connaissiez les nécessités de mon métier, les obligations de ma vie…
FÉRIOUL.
Savez-vous que ce n’est pas très beau ce que vous faites là ?
PARIZOT.
Oh ! je m’en rends compte, monsieur Férioul.
FÉRIOUL.
Vous me demandez ces petits services perpétuels, je vous les accorde ; mais, ce que vous semblez oublier, c’est que vous me devez tout, exactement tout, votre situation, votre greffe, soixante mille francs dont vous ne versez pas même les intérêts à échéance, quand je devrais être remboursé de la moitié.
PARIZOT.
Oh ! je le sais mieux que vous, monsieur Férioul, et votre bonté…
FÉRIOUL.
Et malgré cela, vous me trahissez.
PARIZOT.
Je vous trahis ?… Hein ?…