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FRANÇOIS.
Oui, madame ; monsieur est rentré il y a une demi-heure.
SUZANNE.
Voulez-vous lui dire, s’il est prêt, que je le prie de descendre une seconde ?
FRANÇOIS.
Oui, madame.
GRÂCE.
Oh ! je t’en prie, ne dérange pas ton mari pour nous…
CLAUDE.
Je suis confus… madame… vos bontés…
SUZANNE.
Rien n’est plus naturel.
(Nelly entre par la porte de la salle à manger.)
NELLY, (remettant les cartes à sa mère.)
Maman, voilà.
SUZANNE.
Bien, ma chérie.
NELLY.
Tu vois, c’est bien écrit.
GRÂCE.
C’est ta fille ? Oh ! comme elle est grande et jolie !… Tu permets que je l’embrasse ? Vous voulez bien, mademoiselle, que je vous embrasse ?… Comment s’appelle-t-elle.