Oh ! si c’est pour moi, ne crains rien. Après tout, ce qui peut arriver de pire ne sera jamais bien terrible. Et puis je la connais, je t’assure, elle a très bon cœur. Tu verras… Elle est tout de suite très sympathique… Il faudrait qu’elle eût bien changé.
Je n’en doute pas. Seulement c’est moi qui ne lui serai peut-être pas sympathique du tout ; voilà ce qu’il y a à craindre. Alors, un affront…
Mon pauvre Claude ! Tu n’as donc pas beaucoup de courage ?
Oh ! si, va ! C’est pour toi, Grâce…
Et puis, qu’est-ce que tu veux ?… Il faut bien… Si ça ne réussit pas, nous irons demain voir Mme Vieulle.
Comme tu voudras ! Tu sais bien que je te suivrais les yeux fermés… Ils sont bien logés, ici… Ce sont des gens très, très riches, alors, hein ?
Je ne sais pas. Je ne l’ai pas revue depuis qu’elle est mariée… Sœur Marie-Paul m’avait écrit à Aix qu’elle avait fait un mariage important… La glucose, ça rapporte, de nos jours !…