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LAUB.
Boire, au moins ! À boire !…
THÉRÉSETTE.
Je suis trempée comme une soupe.
MADAME LAUB.
C’est vrai ! Il y a de quoi être furieuse ! On meurt de froid.
ROSINE.
Et c’est lugubre ! Un établissement qui ferme, je ne connais rien de plus triste au monde… Ces chaises rangées… les feuilles dehors qui gémissent !… Oh ! ce Poliche !
LAUB etTHÉRÉSETTE.
Sacré Poliche ! Conspuez !
POLICHE.
Zut ! Zut ! Zut !… Après tout, je vas pas m’en faire mourir.
(Il grimpe sur une échelle.)
FRANÇOIS, (s’approchant de Rosine.)
Bonjour, madame… Madame va bien ?
ROSINE.
Tiens… François… Vous êtes donc placé dans un restaurant, maintenant ?
FRANÇOIS.
Mon dieu, oui, madame. J’ai fait une place d’été ici…
ROSINE.
Poliche ! Tu ne le reconnais pas ?