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IRÈNE.
Oui, c’est cela.
MISS DEACON.
Je n’aime pas cet air… Il n’a pas de sincérité.
IRÈNE, (bas à Mme Ledoux.)
Que veut-elle dire par là ? Ce doit être une allusion que nous ne comprenons pas.
MISS DEACON.
J’entends ma mère, qui m’appelle… Excusez-moi… À tout à l’heure… (Elle prend congé. Serrements de mains, Georget l’accompagne jusqu’à la porte… À voix basse, sur le seuil.) Georget… Dearest !…
GEORGET, (même jeu.)
Quoi ?…
MISS DEACON.
Tout à l’heure, écoutez… je vais chanter pour vous, pendant que vous attendrez la lune, ici… comme moi… Selon que je sentirai que je pense à vous ou non… je jouerai du banjo ou du violon.
GEORGET.
Si c’est du banjo ?
MISS DEACON.
Si c’est du banjo, je me moque… vous savez bien.
GEORGET.
Si c’est du violon ?