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DARTIER, mettant le bras sur l’épaule d’André.
Ah ! mon cher, votre directeur me le disait encore à la minute : « La pièce de Demieulle ? C’est une merveille ! »
UN ACTEUR, à un autre.
Bonsoir.
EMMA.
Au revoir, vieux.
GILLET, au régisseur.
Je ne viendrai pas demain, je te préviens… J’ai une petite bonne femme délicieuse à promener demain…
SICAULT.
T’as raison… Ne te la foule pas… Ah ! les acteurs chics !
VOIRON, à Gillet.
Tiens, veux-tu m’aider à enfiler ma manche ?… (Enfilant son pardessus.) Bonsoir.
(On s’en va.)
UN AUTRE, au régisseur.
Fatigué, hein ?
LE RÉGISSEUR.
Enfin !… une journée de moins !… On va pouvoir aller manger… B’soir.
GILLET.
T’as pas une cigarette ?
SICAULT.
Du caporal.
LE RÉGISSEUR, quand tout le monde est parti et que les voix se sont éteintes.
Ouf ! (Il empile les cahiers.) Une… deusse… troiss… (Un lent silence.) Charles !…
VOIRON, revenant.
J’avais oublié ma canne… B’soir.
(Il s’en va.)