la scène du deux. En voilà une qui commence à nous raser !…
Et la coupure ?… Il serait temps de la faire, cette coupure !…
Oui… après. On coupe toujours bien assez tôt !
La mise en scène… Une chaise là…
Qu’est-ce que c’est que ce livre que tu trimballes sous le bras ?
Je ne sais pas… On me l’a prêté.
Elle est étonnante cette petite !… Tout ce qu’elle trouve chez ses amis elle le chipe… Et ce qu’elle en a de petits amis !… On lui envoie tous les jours dans sa loge, les uns des caisses de pruneaux, les autres des lampes à pétrole… C’est ainsi qu’on l’entretient, cette petite. Tenez, elle n’a pas couché chez elle, eh bien, ce matin, il a fallu qu’elle chipe ce livre… (Il le prend.) La chasse aux fauves.
Bigre !… C’était un dompteur…
Le canapé par ici…
En somme, pourquoi t’appelle-t-on Petit Bouyou ?
Parce que je dis comme ça bouyou au lieu de bonjour… Ça m’est resté.
Quel beau théâtre, tout de même !… Regarde-moi ça… Quelle salle !…