noux, dans cette église, je disais : « Si c’était à recommencer, je recommencerais… » et je sentais encore le couteau me taillader le visage… Pourquoi cet homme m’a-t-il mordu à la main ?… C’est étrange !… Viens, Juanito… j’ai peur…
Mère, l’homme noir m’a aussi donné quelque chose… Regarde, mère, comme c’est beau !… regarde !…
Scène XI[1]
L’amour, c’est la guerre ! (Il recule et un nouveau cri de blessé retentit à ses pieds. Il vient de marcher sur la main d’un mendiant qui se traînait dans l’église.) Encore un cri de douleur !… D’où sort-il, celui-là ?… Pardon, pauvre homme, j’ai meurtri ta main ?… Mais pourquoi diable as-tu quitté le seuil de ton église où tu pourris si tranquillement au soleil ?
J’ai voulu prier pour celui que l’on enterre.
- ↑ La scène du mendiant doit être supprimée à la représentation