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raient en même temps, si l’heure n’a pas sonné à cette pendule-ci, je n’ai rien entendu ! »
DUARD.
À tout à l’heure.
(Il sort. Ginette se reprend un peu, en silence, puis elle va à la porte et appelle.)
Scène V
GINETTE, CÉCILE, puis GERMAINE
GINETTE.
Cécile !
CÉCILE.
Voilà.
GINETTE.
Vous étiez en bas.
CÉCILE.
J’arrive. (Ginette accorde son violon et se compose un visage. Peu après Cécile entre.) Je croyais que sa visite serait plus prolongée. Que venait-il faire ?
GINETTE.
Comme tout le monde comme tous nos amis : s’informer.
CÉCILE.
Oui, eh bien ! ces gens-là ne font qu’augmenter l’obsession. J’en ai par-dessus la tête. Ces gens se croient obligés de ne parler que de ça ! Ouf ! On voudrait être au fond d’une campagne, dans un trou au bord de la mer.
GINETTE.
Le fait est…
CÉCILE.
Vous suivez sur la partition ou vous savez par cœur ?