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mains tendues. Et sur la colline où s’épanouit l’âme enfantine de petit Pierre, tout comme à l’Érablière qui abrite des cœurs généreux, la chanson du poète pouvait s’élever vibrante :
Rien n’est si grand que ma patrie.
Rien n’est si doux que son ciel bleu !
MIETTE
FIN