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tait de force à ma pauvre Angèle.
— Ça épuise tant, dit la fermière, surtout quand on est faible d’avance. Moi aussi, j’ai deux petits anges au ciel ; j’ai Pierre et Aline qui n’a pas six ans, mais qui est presque toujours chez ma mère. Il y a aussi mon Jacques qui court sur son année. Mais je suis assez vigoureuse, toujours bon appétit. C’est ça qui me sauve.
— C’est l’air de la campagne Mélanie, qui vous sauve ! Si Angèle avait cet air-