Page:Bastide - La Petite Maison.djvu/25

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Blondel à Bastide, qui devint plus tard son collaborateur dans un roman fastidieux intitulé : l’Homme du monde éclairé par les arts (Paris, Monory, 1774, 2 vol, in-8). Cependant on retrouve dans d’autres ouvrages de Bastide la même connaissance théorique et le même goût en matière d’art. Il devait donc tenir particulièrement à cette nouvelle, moitié artistique, moitié galante, de la Petite Maison, car il la fit reparaître dans le second volume de son Nouveau Spectateur (Paris, Rollin, 1758-59, 8 vol. in-12) avant de la reprendre dans le tome III de ses Contes (Paris, imprimerie de Louis Cellot, 1763, 4 vol. in-12), où nous sommes allé la chercher, en adoptant ainsi le dernier texte revu par l’auteur.

La Petite Maison n’est pas le seul ouvrage de Bastide que nous nous proposons de faire figurer dans nos Chefs-d’Œuvre inconnus. Cette Petite Maison est bien loin de ressembler à une comédie licencieuse qui porte le même titre et qui a été recueillie dans les Espiègleries