chal brûle six mille lettres d'amour, ibid. — Il part avec le comte de Gramont pour aller trouver le roi à Senlis, p. 135. — Le comte de Soissons lui conseille de s'éloigner ; il refuse, ibid. — Le roi lui fait bon accueil à son arrivée ; mais le soir il ne lui parle pas, p. 136. — Le maréchal est arrêté le lendemain matin, ibid. — Il est conduit de Senlis à la Bastille, p. 138. — Du Tremblay, gouverneur de la Bastille, lui porte de bonnes paroles de la part du roi, ibid. — Le neveu du maréchal, d'abord autorisé à rester auprès du roi et à l'accompagner, est bientôt après invité à quitter la France, p. 139. — Monsieur se retire à Besançon, ibid. — Le maréchal sollicite inutilement sa liberté, ibid. — Il tombe malade, ibid. — Mort de la princesse de Conti ; regrets du maréchal, ibid. — Évasion de la reine-mère, qui se retire à Bruxelles, p. 141. — Mort du comte de Saint-Paul, ibid. — Le comte de Tilly est battu à Leipzig par le roi de Suède, p. 142. — Le duc de Lorraine se joint au duc de Bavière contre le roi de Suède, ibid. — Le frère et le neveu du maréchal accompagnent le duc de Lorraine, ibid. — Le roi vient à Metz, p. 143. — Monsieur, qui était venu à Nancy, se retire de nouveau à Besançon, ibid. — Traité entre le roi et le duc de Lorraine, ibid. — Mesures de rigueur contre le parlement de Paris, ibid.