jour fut clair, l’éléphant arriva. Sois le bienvenu, voilà la tortue.
— Es-tu venu, éléphant ?
— Oui. je suis venu ; je me suis dit : Je veux m’étonner de voir courir la tortue.
— Viens, tiens-toi ici.
Alors l’éléphant était au milieu : la tortue ici, sa femme la-bas ; l’éléphant entre elles.
— Allons, saute, tortue !
— Hop ! fait-elle de ce côté, et elle feint de s’élancer.
— Hé ! dit sa femme de l’autre côté.
L’éléphant pense :
— Je vais voir.
Il trouva effectivement la tortue.
— Diable ! c’est si rapide ! Recommence, car je ne t’ai pas bien reconnue.
Alors la femme de la tortue dit :
— Hop !
L’éléphant pense :
— Je vais regarder rapidement où elle dit : Hé !
Alors il voit la tortue.
— Non, dit-il, je crois maintenant que cette fois, tu as passé par dessus moi. Mais à la course, je te vaincrai sûrement.
— Je ne sais pas, dit la tortue ; peut-être ; je pourrai toujours essayer.
— Allons donc.