Djondi-Sabour, avec Qaïsar, le roi de Roum ;
7° Histoire du roi Bakht-Azmâ le Persan ;
8° Histoire du roi Beïdâd et de son fils Behrâd ;
9° Histoire du roi Ilân-Châh et de ce qui lui arriva avec Abou-Temâm, à cause de ses vizirs envieux ;
10° Soleimân-Châh ;
11° Berhin-Châh.
J’ai déjà en l’occasion de dire que les recensions persanes que nous possédons sont postérieures, au moins pour la rédaction, au texte arabe. Le vague des expressions, les ornements inutiles et les fautes de goût, défauts communs aux ouvrages de ce genre, ne manquent pas ici. Une seule version, publiée et traduite par Ouseley[1], est plus sobre de développements. Aussi a-t-elle été l’objet de la critique de Lescallier qui a remanié, comme il l’avoue, trois textes pour donner une « rédaction plus suivie, plus com-
- ↑ London, 1801, gr. in-8o.