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mand sous le titre de Die Eilf Tage[1] en 1789. Une autre version dans la même langue, due à L. A. W(ichmann), parut l’an suivant à Dresde et à Leipzig et fut rééditée par Bertuch dans la Blaue Bibliothek der allen Nationen[2]. En 1792, une traduction anglaise de l’œuvre de D. Chavis et Cazotte fut publiée à Edimbourg[3], et ensuite dans les Arabian Tales[4]. Enfin Knös, après en avoir donné

  1. Iéna, in-12, 1789. L’ordre des contes a été absolument modifié et quelques-uns ont disparu. En voici la liste :

      Melekschah et Schahkadun (10e hist. de la version arabe) ;
      L’heureuse condamnation à mort (11e) ;
      Les caprices du destin ; histoire d’Abu-Bekr (1re) ;
      Abu-Tamam
      Le danger de vivre à la cour
      Kaireddin ou les dangers de la précipitation (2e) ;
      Il est si beau de pardonner (7e) ;
      La prédiction (9e) ;
      Mach-Allah et Beherdschur, ou l'amour maternel à l'épreuve (introduction) ;
      10° Mach-Allah et Beherdschur, continuation et conclusion (introduction) ;
      11° Abu-Saber ou la patience (3e).
  2. Citée par M. A. Keller, Li romans des Sept Sages, Einleitung, p. xi.
  3. Id., loc. land.
  4. T. II, pp. 1-230.