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HOMÉLIE AUX JEUNES GENS.

οὐ βασιλείαν αὐτην, οὐχ ὅ τι ἄν τις εἲποι τῶν ἀνθρωπινων, ἢ ἀποϐλέπομεν τοὺς ἔχοντας, ἀλλὰ πρόϊμεν ταῖς ἐλπίσιν ἐπὶ μαϰρότερον, ϰαὶ πράττομεν ἄπαντα πρὸς παρασϰευὴν ἑτέρου βίου. Φαμὲν μὲν οὖν χρῆναι ἀγαπᾷν τε ϰαὶ διώϰειν παντὶ σθένει ἂ ἄν συντελῇ ἡμῖν πρὸς τοῦτον· παρορᾷν δὲ ὡς ἄξια οὐδενὸς τὰ οὐϰ ἐξιϰνούμενα πρὸς ἐϰεῖνον. Τίς δὴ οὖν οὖτος ὁ βίος, ϰαὶ ὅπη ϰαὶ ὁπως βιωσόμεθα αὐτὸν, μαϰρότερον μὲν ἢ ἐφιϰέσθαι ϰατὰ τὴν ὁρμὴν παροῦσαν, ἀϰοῦσαι δὲ ἀϰροατῶν μειζόνων ἦ ϰατὰ ὑμᾶς. Εἰπών γε μὴν τοσοῦτον, ἲσως ἂν ἐνδειξαίμην ὑμῖν ἱϰανῶς ὅτι τις συλλαϐὼν ϰαὶ ἀθροίσας εἰς ἒν τῷ λόγῳ τὴν εὐδαιμονίαν πᾶσαν ὁμοῦ ἀπὸ οὖ ἄνθροωποι γεγόνασιν, εὐρήσει παρισουμένην οὐδὲ πολλοστῷ μέρει


ni la royauté elle-même, ni celle que quelqu’un pourrait dire des choses humaines, [arec envie ou nous regardons (ni ne regardons) ceux qui possèdent ces avantages, mais nous nous avançons par nos espérances ^ers un but plus lointain, el nous faisons toutes choses cn-vue-dc la préparation d’une autre vie. Nous disons donc falloir [qu’il faut) et aimer et poursuivre de toute notre force les choses qui peuvent êlrc-ulHes à pour cette autre vie ; [nous niai^ dédaigner comme n’aluni dignes d’aucun prix celles qui n’atteignent pas à celle autre vie. Or donc quelle est cette ut !, et où et comment nous avions » lie, d’une parle Va f un sujet trop long que pour t* aborder dans rossai présent, d’autre part l f entendre est le fait d’auditeurs plus grands que en-propui lion-avec vous ((jt Ayant dit toutefois [vous)* autant ijue je rais du e ; pout-éirc rerals*je-folr à vous suffisamment que quelqu’un ayant réuni et ayant condensé en un par le raisonnement le bonheur tout à la fuis depuis que des hommes ont existé, le trouvera rendu-égal pas même à une minime partie