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DE MARIE BASHKIRTSEFF.

chise très-commode, je demandai à Rossi ce qu’on a dit. Nous parlions italien. — Vous comprenez, ajoutai-je, on ne nous connaît pas, et on pouvait fort bien me prendre pour une de ces étrangères qui viennent à Rome chercher un mari. Nous avons causé assez longtemps et je crois être convaincue que le public n’a attaché aucune importance à la chose.

— Personne n’a songé à lui pour vous, dit Rossi ; c’est un pauvre garçon qui n’a ni fortune ni position. Au commencement on a cru… Dans tous les cas, vous lui avez donné un choc et peut-être à présent va-t-il se corriger, c’est-à-dire se former. Mais c’est un garçon perdu. Oh ! non, pauvre enfant, il souffre beaucoup…