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En arrivant à Châteaugal, madame de Keroulaz dit : — N’y a-t-il rien de nouveau ici, que la porte cochère est ainsi tendue ?
— L’héritière qui était venue ici est morte cette nuit.
— Si l’héritière est morte, c’est moi qui l’ai tuée !
Elle m’avait dit souvent : Ne me donnez pas au marquis de Mesle ; donnez-moi plutôt à Kerthomaz ; celui-là est le plus aimable. —
Kerthomaz et la malheureuse mère, frappés d’un coup si cruel, se sont consacrés à Dieu, dans un cloître sombre, pour la vie.
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