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LE BARON DE JAUIOZ.
— Allons maintenant au vestiaire chercher des festons pour l’orner.
— J’aimerais mieux la tresse blanche que ma sœur Hélène m’ourlait.
— Si j’en juge par vos paroles, j’ai peur que vous ne m’aimiez pas.
Que n’ai-je eu un abcès à la langue, le jour où j’ai été assez fou,
Assez fou pour vous acheter, quand rien ne peut vous consoler ! —
IV
— Chers petits oiseaux, dans votre vol, je vous en prie, écoutez ma voix :
Vous allez au village, et moi je n’y vais pas ; vous êtes joyeux, moi bien triste.
Faites mes compliments à tous mes compatriotes, quand vous les verrez ;
A la bonne mère qui ma mise au jour, et au père qui ma nourrie ;
A la bonne mère qui m’a mise au jour, au vieux prêtre qui m’a baptisée.