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dédain, il me demanda si j’avais envie de me faire tuer. Je lui répondis qu’il pourrait bien se tromper. Il me dit qu’il était maître d’armes. Je lui fis cette réponse : Je ne viens pas ici pour connaître ce que vous dites, mais bien pour que vous conveniez de vos torts envers moi. Il me dit qu’il allait en convenir, mais l’épée à la main. Je lui dis : Allons, venez tout de suite. Il me dit qu’il allait chercher son épée chez lui. — Venez, venez, lui dis-je, je serai plus honnête que vous ne l’avez été à mon égard dimanche dernier ; j’ai des amis avec moi, vous choisirez l’épée qui vous plaira. Non, non, dit-il, je ne suis sûr que de la mienne. Il me donna parole à l’entrée du Bois de Boulogne, aux premiers arbres sur la route. Ayant averti mes camarades j’allai seul au rendez-vous ; mais bientôt, ils vinrent avec des gens de l’endroit. C’était un dimanche, comme je l’ai dit, et ce Patrès était extrêmement connu, et surtout connu pour un de ces hommes qui font contribuer.

J’attendis près d’une heure et je croyais qu’il allait faire comme ceux du Point-du-Jour.

Pendant ce temps, il avait fait le tour du pays avec son épée, afin de faire venir tout ce qu’il pourrait trouver d’habitants, et, en effet, plus de trois cents personnes étaient présentes. Plusieurs