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tard il s’était mis à préférer — avec leurs quatorze vers si pleins, si graves, si solennels, donnent une voix à l’homme que tourmente l’instinct d’admirer, de remercier, de songer avec tristesse et, pourquoi chercher d’autres mots, le besoin de prier. Ils nous ramènent dans les chemins traditionnels et nous y montrent notre véritable grandeur, qui est d’accepter les lois de la vie. Béni soit le poète, quand il lance, à travers le masque d’airain, des accents qui fondent nos cœurs sans nous efféminer.
Certes l’on sait d’autres musiques. Il est des vers qui sont des flammes ; on y consumerait sa vie. Leur cadence tourmente ; ils nous obligent de con-