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veillance universelle, on veut que nous manquions à notre patrie. Pour ma part, je crois qu’un Français ne peut mieux déployer ses vertus que dans le respect des conditions qui formèrent la France. Et je voudrais que l’on se guidât sur la méthode que vous avez prise pour maintenir le caractère de notre société polie. Grâce à un certain tempérament dont votre Compagnie garde la tradition, les influences les plus lointaines et les plus diverses se fondent dans l’esprit français. Votre culture est ouverte à tous les étrangers ; ils s’y trouvent à l’aise pour produire ce dont ils sont capables, et nous-mêmes nous bénéficions de leur excellence. C’est ce que nous vérifierons en reconnais-