Page:Barracand - Ode à Lamartine, 1881.djvu/25

Cette page a été validée par deux contributeurs.


 
Déjà pour toi l’heure commence
De la justice et du bon droit ;
Notre applaudissement immense
Te replace au rang qu’on te doit,
Et dans le ciel des grands poètes,
Loin de nos rumeurs inquiètes,
Tu vas pouvoir, indiscuté,
Près de Milton et près du Tasse,
Ceint comme eux du laurier vivace,
Siéger dans l’immortalité !


Janvier 1881.