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reux. Voici des jours et des nuits qu’il se traîne dans des sapes obscures où le sable perpétuellement détaché des parois le submerge : quand il aperçoit un rais de lumière, comment n’y marcherait-il pas instinctivement, animalement, dût-il dans ce plein air trouver un pire péril ! Si c’est le dénouement par la mort, eh bien ! vive la mort et son repos béni !