Page:Barrès - Un jardin sur l’Oronte, 1922.pdf/212

Cette page n’a pas encore été corrigée

aucun signe d’adieu. Il pensa même qu’Oriante était joyeuse, soit qu’elle le fût en effet d’avoir éprouvé sa force sur un furieux, soit que l’harmonie et la grâce aient toujours un air d’allégresse.