5IXIÈII 1 i portions que les empereurs romains et plus lard les rois de France ou d'autres pays durent prendre les mesures les plus sévères pour réprimer un tel fléau. Au milieu du quatorzième 1 1 33 ! . une ordonn du roi Jean oblige tii I . truand* .ni mendiants tlides a prendre «lu travail ou à sortir de P $ dans les troi3 jours, sous peine de pri- son pour l ;i première l"i>, du pilori pour i nde, de la inarque .m Fer chaud etdu bannissemenl p« «u r la troisième. D ordonnances du même genre lurent renouvi en siècle, ma suippi imer ni même à dimi- nuer le mal : c’est qu’il j avait contradiction entre les idées régnant* s et les lois portées pour en corriger les effets. I le temps même où ces lois s - ivèi es promu - contre les mendiants, l’Église renfermait des » dont les membres faisaient pi fession de ne subsister que des aumô- nes des Bdèlesel qu’on appelait pour cette raisou les
- <i la mendicité, pi par certain*
uances draconienn< par d’autres i l instituait a P - une /// au chapitre abbatial de Saint-Martin. Lad-’ de I nidation p licitude de la nourriture de ce pau le son < ntretien, d»* son vêtement mi parti de blanc et de roi l •• même lui donne une place aux processions pan I a placede mendiant à la porte des églises était extrêmement recher- chée Lorsque, dil i e pauvre <lu quinzième siècle que parlei M >nteil I. Il et qui avait obtenu cette faveur n fo de protections, lorsque je i esserai «I»’ ilonner de l’eau bénite • •i 1 1 1 1 on en donnera a ma bièi e, il n aui des îles pour obtenir ma place l $ se soulève I rai la mendit ii«’ était devenue un un ’ i . bien plus, un l « outei <n. iiême pauvre racontant nmh bistoin « .1 an naissais pas encore lou us que mon cama-