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DAPERTUTTO, à Hoffmann.
Ruinez donc Schlemil, Monsieur ! Je parie pour vous.
HOFFMANN.
Monsieur ?…
DAPERTUTTO.
Je parie pour vous !…
Il s’éloigne.
NICKLAUSSE, retenant Hoffmann qui se dispose à sortir.
Pardon ! un mot !
HOFFMANN.
Tout à l’heure !…
NICKLAUSSE.
Non, par le diable… tout de suite !
DAPERTUTTO, au fond de la scène, se retournant, à part.
Par le diable !… cela me regarde.
Il se cache.
Scène III
HOFFMANN, NICKLAUSSE.
NICKLAUSSE.
Ne crains rien, mon ami, je suis content de toi ! te voilà enfin sur la terre ferme, et nous pouvons y marcher de compagnie. Seulement il est bien entendu que l’amour n’est pour rien dans le hasard galant qui nous amène ici, n’est-ce pas ?