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COPPÉLIUS.
Bandit !… Pirate !…
LE CHŒUR, tranquillement.
Lequel a tort ? je n’en sais rien !
HOFFMANN, apparaissant pâle et épouvanté.
Un automate ! Un automate !

Il se laisse tomber sur un fauteuil. Nicklauss cherche à le calmer. Éclat de rire général.

LE CHŒUR.
Ah ! ah ! ah ! la bombe éclate !
Il aimait un automate !
SPALANZANI, avec désespoir.
Mon automate !
TOUS.
Un automate !
LE CHŒUR.
Ah ! ah ! ah ! ah !