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NICKLAUSSE.
- Quelle chaleur !… Au moins sait-elle que tu l’aimes !
HOFFMANN.
- Non !
NICKLAUSSE.
- Écris-lui !
HOFFMANN.
- Je n’ose pas.
NICKLAUSSE.
- Pauvre agneau ! Parle-lui !
HOFFMANN.
- Les dangers sont les mêmes.
NICKLAUSSE.
- Alors, chante, morbleu ! pour sortir d’un tel pas !
HOFFMANN.
- Monsieur Spalanzani n’aime pas la musique !
NICKLAUSSE, riant.
- Oui, je sais ! Tout pour la physique !…
- Une poupée aux yeux d’émail
- Jouait au mieux de l’éventail
- Auprès d’un petit coq en cuivre ;
- Tous deux chantaient à l’unisson
- D’une merveilleuse façon,
- Dansaient, caquetaient, semblaient vivre.
HOFFMANN.
- Plait-il ! pourquoi cette chanson ?