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— Pardonnez-moi Raimbaud, — fit-elle en tendant à M. de Maulévrier cette main qu’il prenait avec tant de transport autrefois ; — pardonnez-moi ce que j’ai dit, en considération de ce que j’ai souffert ce soir. Vous serez bientôt quitte de mes plaintes. Pour le temps qui me reste à vivre, je ne veux pas vous offenser, vous que j’aime encore, dans la femme que vous m’avez préférée.