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Mon sang doit apaiser ma superbe ennemie.
Ô vous de ses fureurs ministres rigoureux,
Dites-lui que mon nom échappe à l'infamie,
Et que j'ai su garder la foi de mes aïeux ;
Qu'elle jouisse en paix des fruits de sa conquête ;
Je bénis son courroux ; il avance pour moi
Le moment de m'unir à mon souverain roi.
Faites briller le fer... frappez ; voilà ma tête. »