coutelas avec P allas ^ Atropos avec repos , Vénus avec niiSy et d’écrire : Fleur pure, alouette agile ^ A vous le prix ! Toi, tu dépasses Virgile; Toi, Lycoris ! N^envions rien. Les Contemplations, Livre II, xix. Gès, qui, le soir, riait sur le Ménale assis, Bos, l’œgypan de Crète ; on entendait Chrysis, On voyait des lambeaux de chair aux coutelas De Bellone, de Mars, d’Hécate et de Pallas, Son pouce et son index faisaient dans les ténèbres S’ouvrir ou se fermer les ciseaux d’Atropos; La radieuse paix naissait de son repos. Le faune, haletant parmi ces grandes dames. Cornu, boiteux, difforme, alla droit à Vénus ; L’homme-chèvre ébloui regarda ses pieds nus. Le Satyre. La Légende des* Siècles. De pareilles rimes sont absolument répréhen- sibles, car elles nous forcent à prononcer le prisse , assisse, coutelasse, Atropausse et pieds nusse, même si nous ne sommes pas Marseillais et habi- tants de la Cannebière ! — En revanche, il ne faut nullement s’occuper des consonnes de Ja syllabe finale, qui, placées dans l’intérieur de cette syl- labe, ne se prononcent pas. Peu importe qu’elles se trouvent dans l’une des rimes et qu’elles ne se
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