brU’iSy ru-i-ne^ et dans le eharmant moi bru^i-ne. Et si de nos beaux jours les derniers avaient lui, Je pourrais hardiment n’en accuser que lui. Barthblbmy. L’ Émeute- uni oerselle. Nemésis. Il verra sans effet leur honte se pro-dui-re £t rendra les desseins qu’ils feront pour lui nui-ru Aussitost confondus comme délibérés. Malherbb. Prière pour le roi Benri-le-Grand, Poésies, xx. Des empires dé-truits je méditai la cendre. Lamartine. L’Homme. Premières Méditations poétiques, ii. Que mesme ton repos enfante quelque fruict. Agrippa d’Aubionk. Les Tragiques, Livre II, Princes. Et je prends tous ces biens pour des maux dé-gui-sés. Corneille, Bodogune, Acte I. Scène v. L’herbe tremble et bru-it comme une multitude, Victor Hugo. Pleurs dans Id nuit. Contemplations. Livre VI, vi. Le Rhin déshonoré coule entre des ru-i-nes! Victor Hugo. Les Burgraves, Première partie, Scène vi. Pour cette longue énumération prosodique *, j’ai dû me servir en grande partie du chapitre in- titulé : De la diphthongue^ ou réunion de deux sons en une seule syllabe^ dans l’excellent travail que Napoléon Landais a placé en tête de son Dic- tionnaire des Rimes. [Dictionnaire des Rimes . Par le mot Prosodie on entend la manière de prononcer régulièrement dans les mots chaque syllabe prise à part et con- sidérée en elle-même.
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