des-tour-bé-e ne soit, ne prise
De robeurs, escumeurs de mers ;
Vent ne ma-ré-e ne lui nuyse,
La par-ti-e bru-tale alors veut prendre empire
Dessus la sensitive,
Mais ne nous inquiétons pas du passé (quant à présent du moins), car une histoire de la versification serait en même temps une histoire de la langue française et des patois qui l’ont formée ! Cependant, lorsqu’il s’agira de conclure, je dirai, aussi brièvement que possible, ce que je pense de la valeur absolue des règles que j’ai énoncées, comme aussi ce que je pense de l’influence qu’elles out eues sur la versification française et de l’avenir qui leur est réservé. Pour le moment, je me borne à achever de les exposer, en demandant au lecteur toute sa patience pour cette partie aride de mon travail, dont le plus grand tort est qu’on la trouve partout, et qu’elle ne pouvait montrer aucun point de vue nouveau ! Pour achever ce chapitre indispensable, hélas ! il me reste à parler de la Diphthongue et de I’Hiatus ; une fois ce devoir rempli, peut-être pourrai-je dire une chanson qu’on n’a pas entendue partout, et comme dit Horace :