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vers, et dans un morceau égal en longueur à celui que nous venons de citer, en faire la rime du
grand vers, en introduisant pour le petit vers une
rime nouvelle. Faisant ce travail deux fois de
suite, nous pourrions de la sorte transformer
ainsi qu’il suit, en Virelai Ancien, le Lai cité par
le Père Mourgues.
virelai ancien, d’après l’explication du père mourgues
Sur l’appui du Monde
Que faut-il qu’on fonde
D’espoir ?
Cette mer profonde,
En débris féconde,
Fait voir
Calme au matin l’onde ;
Et l’orage y gronde
Le Soir.
Le Destin fait choir,
Homme, ton pouvoir
Funeste
Et ton vain savoir !
Mais, comme un espoir
Céleste
Sous le lourd ciel noir,
C’est le seul Devoir
Qui reste.
Dans un site agreste
Suis sa loi modeste !
Les yeux