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NOUS TOUS.


IV

L’ÉPOUSE


Par un soir de Juillet, au Bois,
Sous la douce brise estivale,
L’Épouse trompée, aux abois,
A donc voulu voir sa rivale.

Oui, sa rivale heureuse. Enfin !
La voilà donc, cette merveille.
C’est elle, sur ce cheval fin
Qui porte une rose à l’oreille.

Eh quoi ! c’est ce manche à balai,
Cette poupée aux boucles rousses,
Qu’il emmenait à Viroflay
Sur le velours des vertes mousses ?