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par pitié !
la suite ?
tous ces pauvres gens morfondus, roulant des pensers qu’on ignore, dans les tourbillons éperdus voltigent, palpitants encore. le soleil levant les dévore. regardez-les, cieux éblouis, danser dans les feux de l’aurore, c’est le verger du roi Louis.
le verger du roi Louis !
fort bien. (à Gringoire.) poursuivez.
La troisième strophe est encore plus réjouissante.
Est-ce vrai ?
Vous allez voir. ces pendus, du diable entendus, appellent des pendus encore. tandis qu’aux cieux, d’azur tendus, où semble luire un météore, la rosée en l’air s’évapore, un essaim d’oiseaux réjouis par-dessus leur tête picore. c’est le verger du roi Louis.