ville. C’est ce que je lui dis chaque jour. Mais elle ne m’écoute pas.
Si alors vous lui proposiez quelque chose de mieux ?
De mieux qu’un bourgeois !
Tu ne devines pas, Simon ? Messire Olivier, par exemple, qui, après une jeunesse pleine de travaux et d’aventures, me semble très-désireux de faire une fin !
Une pareille fin n’est pas digne de monsieur votre barbier, Sire ! La Providence, sans doute, lui en garde une meilleure.
Hein ?
Je dis ce que tout le monde dit.
Eh bien ! Nous consulterons Loyse elle-même. Sois tranquille, mon compère, j’ai fait des choses plus difficiles. Mais à propos, qu’est-elle devenue, ma gentille Loyse ? Est-ce qu’elle nous tient rigueur ? Il me tarde pourtant de la voir sourire, et d’écouter son gracieux babil !
Tenez, Sire, la voici. Il semble qu’elle ait deviné le désir de Votre Majesté… et le mien.
C’est toi, ma Loyse ?
Oui, Sire. Oh ! Je ne vous oubliais pas !