Page:Banville - Dans la fournaise, 1892.djvu/298

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Ébouriffé, gonflé de vent,
Trompé dans ses désirs précaires,
Il fuit éperdûment devant
La course des apothicaires.

Il s’enfuit, tourmenté, honni,
Assiégé par de grandes bringues,
Et l’on n’aura jamais fini
De Pourceaugnac et des seringues.


17 février 1891.