Page:Banville - Dans la fournaise, 1892.djvu/200

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

DÉJÀ VUS


Céline, avec ses cheveux roux
Dont la fauve splendeur nous flatte,
Darde ses yeux pleins de courroux,
Pareille à la bête écarlate.

Magnifique dans le printems
Comme une grande fleur qui bouge,
Elle charme les airs flottants,
En portant son ombrelle rouge.