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XII

LIA FÉLIX


C’est ainsi, avec une singulière puissance magnétique du regard clair et doux, avec la bouche dédaigneuse et triste quand un sourire voulu ne ranime pas, mince, élégante, faite de rien et d’une aristocratie suprême, qu’on se représente la chère création de Balzac, l’adorée duchesse de Maufrigneuse, soit lorsque, transfigurée en ange dans les flots vaporeux de mousseline, elle inspire au jeune d’Esgri-