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Et la seconde de celles-ci : le rédacteur en chef de la Chronique de Paris était, comme on sait, Balzac lui-même :

I
Nouvelle réclamation du sieur Dufour.

Nous insérons les deux lettres ci-dessous, moins pour obtempérer à une invitation à laquelle nous n’avons pas à nous rendre, que pour faire ressortir la parfaite vérité des faits posés par M. de Balzac dans sa réponse à la première lettre du sieur Dufour. Mais comme nous ne saurions accepter la rédaction de M. Dufour, quelque spirituelle qu’elle puisse être, nous n’insérerons plus rien de lui, quoi qu’il lui plaise de nous envoyer, parce que la loi ne dit pas qu’un journal sera tenu d’endormir ses abonnés. Le rédacteur en chef.

II
Monsieur le rédacteur,

Aux termes de la loi du 11 mai 1825, je requiers, dans le plus prochain numéro de la Chronique de Paris, l’insertion de la réponse que voici, au commentaire dont M. de Balzac a jugé à propos de faire suivre ma lettre du 4 juin.

Agréez l’assurance de ma parfaite considération.S. Dufour.

Page 538, une Lettre à M. de Girardin, relative à un article de Sainte-Beuve, extraite de la Presse du 7 septembre 1839 ; et page 578, une lettre au Journal des Débats extraite du numéro du 16 mai 1850.

Polémique judiciaire.
CCXXIII. Mémoire sur le procès de Peytel, notaire à Belley. Paru, daté des Jardies, 15-17 septembre 1839, nous le titre de : Lettre sur le procès de Peytel, notaire à Belley, dans le Siècle, 27, 28 et 29 septembre 1839. Nous ajoutons ici deux lettres à ce travail : l’une du docteur Broussais avec apostille de Balzac parue dans le Siècle du 29 septembre 1839, et l’autre, complétement inédite de M. Moreau Christophe, ancien inspecteur général des prisons, lettre adressée à Gavarni, avec qui Balzac s’était rendu à Belley pour y chercher les renseignements de son mémoire.