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XCVI. Ressouvenir. La Caricature, 4 novembre 1830.

XCVII. Une Lutte. La Caricature, 2 décembre 1830.

XCVIII. La Mort de ma tante. La Caricature, 16 décembre 1830.

XCIX. Vengeance d’artiste. La Caricature, 23 décembre 1830.

C. Une Inconséquence. La Caricature, 30 décembre 1830.

CI. Les Deux Dragons. La Silhouette, 2 janvier 1831.

CII Le Marchand de bustes. La Caricature, 20 janvier 1831.

CIII Une Passion au collége. La Caricature, 27 janvier 1831.

CIV. Un Lendemain. La Caricature, 10 février 1831.

CV. Histoire de giberne. La Caricature, 10 février 1831.

CVI. Le Cornac de Carlsruhe. La Caricature, 31 mars 1831.

CVII. L’Embuscade. La Caricature, 7 avril 1831.

CVIII. Tableau d’un intérieur de famille. La Caricature, 12 mai 1831.

CIX. Le Patriotisme de Clarice. La Caricature, 26 mai 1831.

CX. Le Dôme des invalides, hallucination. Ce conte parut pour la première fois dans les Annales romantiques de 1832 (publiées en 1831).

CXI. Deux Destinées d’homme ou Nouveau Moyen de parvenir. La Caricature, 26 janvier 1832.

CXII. Échantillon de causerie française. Daté 1832-1844. Ce morceau parut pour la première fois, non daté, en février 1832, sous le titre de : une Conversation entre onze heures et minuit, dans les Contes bruns, volume anonyme par Balzac, Philarète Chasles et Charles Rabou. En 1842, Balzac en enleva deux récits qu’il inséra dans une autre histoire (voir Autre Étude de femme), et, en 1844, il plaça le dernier fragment de cet article (légèrement remanié, ce qui explique sa date), après Splendeurs et Misères des courtisanes, Esther heureuse, trois volumes in-8o, sous le titre de : Échantillon de causeries françaises, avec la date indiquée ci-dessus. Cet article était destiné aux Scènes de la Vie parisienne, où il fut même annoncé, ainsi que nous l’avons fait remarquer ailleurs (voir la Marana) ; pourtant il n’y entra jamais. Il dut aussi ouvrir les Scènes de la Vie politique. Voici comment dans la première version, celle des Contes bruns, était annoncée l’histoire du chevalier de Beauvoir, aujourd’hui placée dans la Muse du département. Après les mots « le vrai roi ! » ligne 8, page 554 d’Autre Étude de femme, on lisait :

— J’aurais bien voulu qu’il fût un peu moins roi…, dit en riant un de mes amis ; je n’aurais point passé six ans dans la forteresse où sa police m’a jeté, comme tant d’autres.