première édition des Scènes de la Vie parisienne (1835) ; elle fut placée définitivement avec la même date dans les Scènes de la Vie privée, en 1842, cette fois sous le titre qu’elle porte encore aujourd’hui, et entra, augmentée de sa dédicace, dans le tome I de leur cinquième édition (première édition de la Comédie humaine). Cette dernière version fut légèrement remaniée, ce qui explique les dates actuelles, 1830-1842, qui sont une correction posthume de l’auteur.
XI. La Paix du ménage, daté de juillet 1829. Dédié à Valentine Surville (nièce de l’auteur). Parut pour la première fois dans la première édition des Scènes de la Vie privée, deux volumes, avril 1830, et, daté de la Boulonnière, juillet 1829, dans leur troisième édition, 1834-1835 ; la dédicace n’y fut jointe qu’en 1842, dans le tome I de la cinquième édition de ces Scènes (première édition de la Comédie humaine).
XII. Madame Firmiani, daté par erreur de Paris, février 1831 (c’est février 1832 qu’il faut lire, comme dans toutes les éditions datées antérieures à la Comédie humaine)[1]. Dédié à Alexandre de Berny. Imprimé pour la première fois dans la Revue de Paris de février 1832, ce récit parut pour la première fois en volume la même année dans les Nouveaux Contes philosophiques, un volume in-8o, chez Ch. Gosselin, et entra ensuite, daté de février 1832, dans le tome IV de la première édition des Scènes de la Vie parisienne, 1835. Il fut placé définitivement en 1842, augmenté de sa dédicace, dans le tome I des Scènes de la Vie privée, lors de leur cinquième édition (première édition de la Comédie humaine).
XIII. Étude de femme, daté de Paris, février 1830. Dédié au marquis Jean-Charles di Negro. Imprimé pour la première fois dans la Mode du 12 mars 1830, ce récit parut pour la première fois en volume, daté, à la suite de la deuxième édition de la Peau de chagrin, publiée en 1831, sous le titre de Romans et Contes philosophiques, trois volumes in-8o, chez Ch. Gosselin. En 1835, il est entré sous le titre de Profil de marquise, dans le tome IV de la première édition des Scènes de la Vie parisienne ; puis, sous son titre actuel et augmenté de sa dédicace, il fut placé en 1842 dans le tome I de la cinquième édition des Scènes de la Vie privée (première édition de la Comédie humaine), où il est resté.
XIV. La Fausse Maîtresse, daté de Paris, janvier 1842. Dédié à la
- ↑ La plupart des fautes d’impression que nous indiquons dans le cours de ce travail, ont été corrigées dans les tirages nouveaux de l’édition définitive.